lundi 23 février 2015

Ma jolie maison, Eric Arlix et Roberto Martinez

!!! Attention !!! Cet article n'est pas là pour vous faire part d'une lecture que j'aurais appréciée, qui m'aurait réjouie, que j'aurais trouvée enrichissante. Je pousse ici un coup de gueule (eh oui, il faut bien, de temps en temps...). Eric Arlix, un des auteurs de ce texte, est venu faire une rencontre à la fac, co-animée par une de mes amies. C'est pour rendre service à cette dernière, pour lui donner un autre point de vue que le sien sur les textes de l'auteur, que je l'ai lu et que j'en ai fait cette courte (sobre) critique.

Dans Ma jolie maison, Eric Arlix critique avec humour les jolies maisons bourgeoises, en prenant le ton d’un historien qui aurait étudié longuement les cités antiques que cela aurait constitué. Le travail sur le style est très intéressant, puisque l’auteur reprend beaucoup de phrases toutes faites utilisées dans différentes occasions de la vie, et il s’amuse, par leur répétition, à les emmêler entre elles.

L’auteur a un point de vue très affirmé sur la démocratie et la bourgeoisie. Il diagnostique ici le mal que constitue « la jolie maison ». Ce texte s’applique à démontrer le caractère mortifère des zones résidentielles pleines de « jolies maisons » qui pullulent un peu partout à notre époque. Il souligne un combat dans ces zones, combat entre individualisme feint et conformisme ambiant.


Le point de vue et la critique semblent un peu faciles, et ils amènent à se poser une grande question : est-elle jolie, la maison dans laquelle vit l’auteur ?  


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